Le temps des Cafés

Ville de Heillecourt
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des lieux de convivialité

Au travers des âges

Au début du XXè siècle, alors que le nombre de Heillecourtois, surnommés à tort ou à raison les Maurepayou, soit les mauvais payeurs !, dépasse à peine cinq cents.

on compte dans le village cinq cafés, une épicerie, une boulangerie-épicerie tenue par la dénommée Nonore, un artisan cordonnier et un maréchal-ferrant.

Fêtes religieuses et laïques rythment la vie des habitants dont beaucoup vivent de l’exploitation de leurs terres et de l’élevage, comme le fameux Zidor qui part chaque matin au marché de Nancy avec son char à lait tracté par deux chevaux. 

Les cafés sont des lieux de convivialité pour les villageois, les dimanches et jours de fêtes, fréquentés surtout par les hommes. Ces derniers viennent taper la belote et jouer aux quilles. Les enfants après les vêpres ne manquent jamais d’aller rejoindre leurs pères afin d’obtenir un cornet de cacahuètes.

Il y avait le café LOUIS qui devint par la suite le café RENAUD, puis le café COING. Toujours situé place de la fontaine, il connaît de nombreux aménagements au fil des années.



Dans la Grande-Rue en amont du lavoir, il y avait un café avec une petite épicerie. Chez le Père ZIM (Zimmermann de son vrai nom). Café repris par la suite par la famille COMTE.

La commune comptait également le café MAITRE (connu également sous le nom « AU NOM DE LA LIBERTE »). Les deux derniers cafés se trouvent respectivement en haut de la Grande-Rue et en bas de celle-ci.